Sous une nouvelle couverture, enrichie d'un important chapitre sur la médiation et la résolution des conflits, voici la troisième édition de l'ouvrage phare de la Communication NonViolente, traduit dans plus de 30 langues et vendu à 170 000 exemplaires en France. Grâce à des histoires, des exemples et des dialogues simples, ce livre permet d'améliorer radicalement et de rendre vraiment authentique notre relation aux autres.
La plupart d'entre nous ont été élevés dans un esprit de compétition, imprégnés de préjugés et d'intolérance. Cette éducation nous conduit le plus souvent à une mauvaise compréhension des autres. Elle engendre au quotidien de la colère, des frustrations et des comportements agressifs.
Une communication de qualité avec les autres est une des compétences les plus précieuses qui soit, dans sa vie personnelle comme au travail.
Marshall Rosenberg met ici à notre disposition un outil très simple dans son principe, mais extrêmement puissant dans ses effets : la Communication NonViolente. Découvrez cette méthode accessible pour améliorer votre relation aux autres.
C'est une sorte de village de pêcheurs aux maisons d'un étage, niché au creux d'un bras de mer qui s'enfonce comme une langue, à l'extrême nord de la Norvège. C'est là que tout a commencé: l'accident sur la plateforme pétrolière, de l'autre côté du chenal, la fissure qui menace dangereusement le glacier et ces poissons qu'on a retrouvés morts. Et si tout était lié ?
C'est en tant qu'ingénieur géologue que Noah, enfant du pays, va revenir en mission et retrouver Anå, son amour de jeunesse, ainsi que les anciens amis qu'il avait initiés aux jeux de rôle. Il était alors Sigurd, du nom justement de cette maudite plateforme.
Avec Climax, Thomas B. Reverdy réveille le roman d'aventures en lui offrant une dimension crépusculaire et contemporaine puisque désormais les glaciers fondent, les ours meurent et l'homme a irrémédiablement tout abîmé. Au moins, il reste la fiction pour raconter cette dernière aventure, celle de la fin d'un monde.
Targets halen, omgaan met vervelende leidinggevenden, computerproblemen, files, en burenruzie kunnen oorzaken zijn van tijdelijke, soms zelfs chronische, stress en burnout. In Een patiënt met stress en burnout worden tal van oorzaken en de nare, soms ingrijpende, gevolgen van stress en burnout beschreven. Niet alleen wordt ingegaan op wat de patiënt zelf overkomt, maar ook op wat mensen in de directe omgeving van de patiënt doormaken.Een patiënt met is ontwikkeld om huisartsen te informeren over patiënten met een psychische stoornis of klacht. Een stoornis kan de omgang met de patiënt of de behandeling van een andere aandoening immers sterk beïnvloeden. Psychische stoornissen komen binnen de huisartspraktijk veel voor, maar wat kun je er als huisarts zelf mee? Deze boekenreeks geeft de huisarts handvatten om adequate hulp te kunnen verlenen en patiënten de weg te wijzen naar zelfhulp of gespecialiseerde behandeling.
Begeleiding en behandeling van patiënten met hypertensie maakt deel uit van het dagelijks werk binnen de huisartspraktijk: één op de vier volwassenen heeft een te hoge bloeddruk. Het meten van de bloeddruk is daardoor één van de meest voorkomende handelingen. Bètablokkers en plaspillen behoren tot de meest voorgeschreven geneesmiddelen in Nederland, toch blijken veel patiënten die voor bloeddrukbehandeling in aanmerking komen niet goed ingesteld. Hypertensie is, samen met een verhoogd cholesterol en roken, verantwoordelijk voor 80% van alle hart- en vaatziekten. Het doel van deze praktische leidraad is een handvat te bieden om patiënten met hypertensie te identificeren, te behandelen en te controleren. Handelen bij hypertensie geldt als een onmisbaar boek voor de professionele praktijkondersteuner. Er komen verschillende aspecten van hypertensie aan de orde, waaronder de oorzaken en gevolgen van hypertensie, het meten van de bloeddruk, het behandelen van hypertensie en de behandeling van specifieke patiëntgroepen. Ook zijn er hoofdstukken gewijd aan hypertensie in de praktijk en de rol van de praktijkondersteuner, waarin onderwerpen worden behandeld als: het schatten van het cardiovasculair risico, leefstijladviezen, medicamenteuze behandeling, therapietrouw en juridische aspecten. De diverse casussen met uitwerkingen verhelderen hoe de richtlijnen in de praktijk kunnen worden uitgevoerd. Handelen bij hypertensie is het vierde deel in de POH-reeks; een reeks primair bedoeld voor praktijkondersteuners, praktijkverpleegkundigen en praktijkondersteuners in opleiding, maar zal daarnaast zeker ook nuttig zijn voor huisartsen. Door aandacht te besteden aan een diversiteit aan praktische onderwerpen, krijgt de praktijkondersteuner handvatten geboden die ter ondersteuning zullen zijn bij de uitoefening van het dagelijks werk binnen de praktijk.
Dit boek geeft een overzicht van de diagnostiek, behandeling en gevolgen van traumatisch hersenletsel. De hoofdstukken zijn geschreven door landelijke experts, op basis van nationale en internationale literatuur en richtlijnen. Waar dat relevant is, is de inhoud toegespitst op de Nederlandse situatie, met als resultaat: een uniek Nederlandstalig naslagwerk.
Dit handboek borduurt voort op Traumatische Hersenletsels van prof. dr. J.M. Minderhoud, maar is qua opzet geheel herzien. Het gaat in op de opvang van patiënten op de spoedeisende hulp, op de behandeling in het ziekenhuis (onder meer op de intensive care), op de restverschijnselen en op de mogelijkheden van revalidatiebehandeling. Ook de gevolgen voor werk en inkomen en juridische aspecten komen aan bod. De tekst is voorzien van talrijke verhelderende illustraties.
Handboek traumatisch hersenletsel is bestemd voor alle zorgprofessionals die in hun praktijk te maken hebben traumatische hersenletsels, zoals medisch specialisten, huisartsen, verpleegkundigen, paramedici. Het boek is ook nuttig voor niet-medische professionals, zoals juristen.
Joukje van der Naalt is neuroloog en hoogleraar Neurotraumatologie aan het Universitair Medisch Centrum Groningen. Bram Jacobs is neuroloog met als aandachtsgebied neurotraumatologie aan het Universitair Medisch Centrum Groningen.
Matthew B. Crawford était un brillant universitaire, bien payé pour travailler dans un
think tank à Washington. Au bout de quelques mois, déprimé, il démissionne pour ouvrir... un atelier de réparation de motos. À partir du récit de son étonnante reconversion, il livre dans cet ouvrage intelligent et drôle une réflexion particulièrement fine sur le sens et la valeur du travail dans les sociétés occidentales.
Mêlant anecdotes, récit, et réflexions philosophiques et sociologiques, il montre que ce " travail intellectuel ", dont on nous rebat les oreilles, se révèle pauvre et déresponsabilisant. À l'inverse, il restitue l'expérience de ceux qui, comme lui, s'emploient à fabriquer ou réparer des objets - dans un monde où l'on ne sait plus qu'acheter, jeter et remplacer. Le travail manuel peut même se révéler beaucoup plus captivant d'
un point de vue intellectuel que tous les nouveaux emplois de l'" économie du savoir ".
« Puisque mon désir de vivre en dehors des prescriptions normatives de la société binaire hétéro-patriarcale a été considéré comme une pathologie clinique caractérisée sous le vocable de « dysphorie de genre », il m'a paru intéressant de penser la situation planétaire actuelle comme une dysphorie généralisée. Dysphoria mundi : la résistance d'une grande partie des corps vivants de la planète à être subalternisés au sein d'un régime de savoir et de pouvoir patriarco-colonial. »
Tel est le point de départ de ce livre de « philosophie documentaire » où l'auteur, malade du covid et enfermé seul dans son appartement, emprunte à tous les genres (essai, fiction, journal) pour raconter à sa façon un monde dont les différentes horloges se sont synchronisées au rythme du virus, mais aussi du racisme, du féminicide, du réchauffement climatique... et de la rébellion à venir. Une manière de carnet philosophico-somatique d'un processus de mutation planétaire en cours.
Si la modernité disciplinaire était hystérique ; si le fordisme, héritier des séquelles des deux guerres mondiales sur la psyché collective, était schizophrène ; le néolibéralisme cybernétique, lui, est dysphorique.
L'hypothèse centrale de cet essai : les événements qui se sont produits pendant la crise du covid à l'échelle mondiale marquent le début de la fin du réalisme capitaliste.
Sommes-nous condamnés à croire tout savoir et ne rien pouvoir faire pour changer le cours des choses (paranoïa conspirationniste) ou continuer à tout faire de la même manière mais sentir que plus rien n'a de sens (dépression individualiste) ? Non : il est possible de franchir le pas vers une autre épistémologie terrestre. Encore faut-il refuser la nouvelle alliance du néolibéralisme numérique, des rhétoriques néo-nationalistes, l'explosion des inégalités économiques, des violences raciales, sexuelles et de genres, la destruction de la biosphère pour initier un profond processus de décarbonisation, de dépatriarcalisation, de décolonisation : c'est l'« hypothèse révolution » dont ce livre pose les prolégomènes...
• Une enquête passionnante, oscillant entre magie et technologie.
• Des robots destructeurs créés par un mystérieux peuple inconnu.
• La rencontre touchante de deux jeunes adultes trop longtemps
enfermés dans la solitude et la peur.
Un jeune maître-cartes traqué depuis son enfance car il détient les arcanes les plus puissantes au monde.
Une étudiante solitaire dont les émotions incontrôlables sont la source d'immenses pouvoirs.
Une guerre de l'ombre couve depuis longtemps entre les royaumes
du Continent. Dans ce jeu de forces et de magie, la découverte des armures robotisées mobiles devient l'enjeu stratégique de tous. Ces ARM, vestiges d'une civilisation disparue depuis 1200 ans, offriraient un avantage hautement dissuasif si elles voulaient bien révéler leur secret. Mais la pièce manquante demeure introuvable. L'autre solution pour s'assurer la victoire serait de mettre la main sur le maître des arcanes porteur de l'as de la Mort et du Joker : Sadge. Héritier malgré lui de ce pouvoir destructeur, il est traqué pour ses capacités et trouve refuge à la prestigieuse université des magies. Il y rencontre Diba, une émotionnelle que tout le monde fuit à cause de ses dons aussi dévastateurs qu'incontrôlables. Tous deux vont tenter de percer le mystère qui entoure l'origine des ARM, sans se douter que ces robots de guerre ne sont pas la pire des menaces à craindre.
Thriller politico-financier et roman d'apprentissage, cette vaste fresque raconte l'ascension prodigieuse de Grigori Yurdine, jeune orphelin de la Russie soviétique en pleine décomposition, jusqu'aux plus hautes sphères de la finance internationale.
Un demi-siècle de la vie d'un homme décrit la chute d'un monde ancien et la naissance d'un monde nouveau, de la sombre ville sibérienne de Perm en 1975 à la Russie poutinienne de 2020 en passant par Londres, Paris, Moscou, New York ou les rives du lac de Côme ; de l'effondrement du communisme à la pandémie du Covid en passant par la crise des subprimes ; de la puissance économique des Etats à la puissance financière des grandes banques d'affaires en passant par les officines politiques et les services secrets.
La profusion et la richesse des personnages, la multiplication des intrigues et sous-intrigues, les rebondissements et les coups de théâtre font de ce page turner à l'américaine - où l'on retrouve avec bonheur le rythme trépidant des meilleures séries contemporaines - le grand roman que l'on attendait sur la transformation du socialisme soviétique en capitalisme oligarchique.
Une plongée vertigineuse au coeur des vrais univers du pouvoir.
Au XIX siècle, lorsque l'homosexualité est inventée comme crime et maladie mentale en Europe, l'écrivain Karl Heinrich Ulrich est le premier à se déclarer « uraniste » et à affirmer les droits de « ceux qui aiment différemment ». Après lui, Preciado refuse le protocole médico-légal de changement de sexe et entreprend un projet de transformation de son corps et de sa subjectivité via l'auto-administration de testostérone. Il relate cette traversée, ce devenir « homme-trans », au fil de chroniques dans Libération entamées comme Beatriz et poursuivies une fois devenu Paul.
Il y développe une philosophie politique dépassant les questions de sexualité et évoque des questions politico-sociales comme le devenir néo-fasciste en Europe, la crise grecque, les luttes zapatistes au Mexique, le conflit en Catalogne.
Car la dualité sexuelle et son l'épistémologie binaire sont le cadre général de nos sociétés « technopatriarcales et hétérocentrées ». La masculinité s'y définit par le droit des hommes à donner la mort et la féminité par l'obligation des femmes à donner la vie. L'hétérosexualité est à la fois une politique du désir et un régime de gouvernement imposant un système de violence et de domination. Face à ce régime, la culture queer et trans est celle du l'expérimentation du genre et de la non-naturalisation des positions de pouvoir. Les corps sont équivalents, le pouvoir est redistribué.
En devenant Paul, Preciado, « dissident du système genre-genre », met en pratique la révolution sexuelle et politique qu'il appelle de ses voeux. Il propose ainsi une cartographie de technologies du pouvoir aussi bien qu'une guide des nouvelles stratégies de résistance à la norme.
Après le succès d'
Éloge du carburateur, qui mettait en évidence le rôle fondamental du travail manuel, Matthew B. Crawford s'interroge sur la fragmentation de notre vie mentale. Ombres errantes dans la caverne du virtuel, hédonistes abstraits fuyant les aspérités du monde, nous dérivons à la recherche d'un confort désincarné et d'une autonomie infantile qui nous mettent à la merci des exploiteurs de " temps de cerveau disponible ".
Puisant chez Descartes, Locke, Kant, Heidegger, James ou Merleau-Ponty, le philosophe-mécanicien revisite les relations entre l'esprit et la chair, la perception et l'action, et voit dans les processus mentaux et la virtuosité des cuisiniers, des joueurs de hockey, des pilotes de course ou des facteurs d'orgue des écoles de sagesse, de maîtrise et d'épanouissement.
Contre un individualisme sans individus authentiques et une prétendue liberté sans puissance d'agir, il plaide avec brio pour un nouvel engagement avec le réel qui prenne en compte le caractère " incarné " de notre existence et nous réconcilie avec le monde.
« Combat de nègre et de chiens ne parle pas, en tout cas, de l'Afrique et des Noirs - je ne suis pas un auteur africain -, elle ne raconte ni le néocolonialisme ni la question raciale. Elle n'émet certainement aucun avis.
Elle parle simplement d'un lieu du monde. On rencontre parfois des lieux qui sont des sortes de métaphores, de la vie ou d'un aspect de la vie, ou de quelque chose qui me paraît grave et évident, comme chez Conrad par exemple les rivières qui remontent dans la jungle... J'avais été pendant un mois en Afrique sur un chantier de travaux publics, voir des amis. Imaginez, en pleine brousse, une petite cité de cinq, six maisons, entourée de barbelés, avec des miradors ; et, à l'intérieur, une dizaine de Blancs qui vivent, plus ou moins terrorisés par l'extérieur, avec des gardiens noirs, armés, tout autour. C'était peu de temps après la guerre du Biafra, et des bandes de pillards sillonnaient la région. Les gardes, la nuit, pour ne pas s'endormir, s'appelaient avec des bruits très bizarres qu'ils faisaient avec la gorge... Et ça tournait tout le temps. C'est ça qui m'avait décidé à écrire cette pièce, le cri des gardes. Et à l'intérieur de ce cercle se déroulaient des drames petits-bourgeois comme il pourrait s'en dérouler dans le seizième arrondissement : le chef de chantier qui couchait avec la femme du contremaître, des choses comme ça...
Ma pièce parle peut-être un peu de la France et des Blancs : une chose vue de loin, déplacée, devient parfois plus déchiffrable. Elle parle surtout de trois êtres humains isolés dans un lieu du monde qui leur est étranger, entourés de gardiens énigmatiques. J'ai cru - et je crois encore - que raconter le cri de ces gardes entendu au fond de l'Afrique, le territoire d'inquiétude et de solitude qu'il délimite, c'était un sujet qui avait son importance. » (B.-M. K.)
Ce texte, paru aux Éditions de Minuit en janvier 1990, est suivi de notes (Carnets de Combat de nègre et de chiens).
En novembre 2019, Paul Preciado s'exprime devant 3500 psychanalystes lors des journées internationales de l'Ecole de la Cause Freudienne à Paris. Devant la profession qui l'a diagnostiqué « malade mental » et « dysphorique du genre », il s'appuie sur Kafka et son Rapport pour une académie, dans lequel un singe parlant discourt devant une assemblée de scientifiques. Loin de toute émancipation, le singe parlant de Kafka explique que son apprentissage du langage ne fut qu'un passage d'une cage à une autre : des barreaux de fer à la subjectivité humaine.
Depuis sa cage de « mutant », il ne s'agit pas pour Preciado de parler de l'homophobie ou la transphobie des pères fondateurs de la psychanalyse, mais de montrer la complicité de celle-ci avec une idéologie de la différence sexuelle datant de l'ère coloniale, aujourd'hui rendue obsolète par les moyens dont nous disposons pour influer sur nos corps et notre façon de procréer.
Surtout, le philosophe lance un appel à la transformation des discours et des pratiques psychologiques et psychanalytiques : dans les années à venir, nous devrons élaborer collectivement une épistémologie capable de rendre compte de la multiplicité des vivants, sans réduire le corps à sa force reproductive hétérosexuelle, et qui ne légitime pas la violence hétéro-patriarcale et coloniale.
La conférence provoque un séisme dans l'auditoire et depuis les associations psychanalytiques se déchirent. Filmé par des smartphones, le discours est mis en ligne et des fragments sont retranscrits, traduits et publiés sur internet sans souci d'exactitude. Afin d'élargir le débat, il importait de publier ce texte dans son intégralité.
« Le jeune homme que fait parler Koltès, jeune frère de Rimbaud et de Genet, tente de retenir, en usant de tous les mots dont il dispose, un inconnu qu'il a abordé dans la rue un soir où il était seul, seul à en mourir. Il parle, il parle aussi frénétiquement qu'il ferait l'amour, il crie son univers : ces banlieues où l'on traîne sans travailler et où pourtant l'usine guette, ces rues où l'on cherche un être ou une chambre pour une nuit, ou un fragment de nuit, où l'on se cogne à des loubards partant à la chasse aux ratons, aux pédés, un univers nocturne où il est l'étranger, l'orphelin, et qu'il fuit en se cognant partout dans sa difficulté d'être et sa fureur de vivre. » (Gilles Sandier, Le Matin)
La Nuit juste avant les forêts est paru aux Éditions de Minuit en 1988.
Regroupés chez Petit-Duc, le hibou conteur, les animaux de la forêt écoutent l'histoire du légendaire Wendigo, transformé en monstre après avoir consommé de la viande humaine. Persuadé que la viande des hommes donnerait sa force incroyable au monstre, Glouton se questionne : devrait-il lui aussi aller grignoter des villageois ? Une bien meilleure idée s'impose alors à lui : se faire passer pour un chien et ainsi intégrer le monde des hommes. Cette opération lui permettra certainement d'être bien nourri et protégé, loin des contraintes de la vie sauvage. C'est en tout cas ce qu'il pensait jusqu'à réellement découvrir la vie de chien... Malmené et enrôlé malgré lui dans un attelage de traîneaux, Glouton se laisse peu à peu domestiquer et oublie sa profonde nature. Mais, tel le Wendigo des forêts d'Alaska, sommeille en Glouton un animal terriblement épris de liberté. Il serait temps de rappeler aux hommes que les bois abritent des êtres irrémédiablement indomptables...
Accompagné de Mèdor, son fidèle acolyte, chien de compagnie et, occasionnellement, fauteuil, Glouton parviendra-t-il à renouer avec l'irréductible tempérament du plus dangereux prédateur du Grand Nord (enfin, selon ses dires) ?
Chaque année, les bonnes résolutions fleurissent. Et souvent, elles nous pourrissent la vie. S'inscrire dans une salle de sport, trouver l'âme soeur, prendre des cours de cuisine... Un véritable enfer !
Avec cet anti-manuel de bonne conduite, apprenons à rater notre vie mois par mois : tester les pires techniques de drague, glandouiller au travail, faire exploser notre empreinte carbone... Pour vous, en exclusivité, le premier guide de mauvaises résolutions !
Bagarreur à ses heures mais le plus souvent génial baragouineur, fin tacticien le matin ou menteur patenté le soir, Glouton n'a qu'un seul but : manger le plus possible en faisant le moins d'effort possible !
Pourtant, on aurait pu croire les prédateurs nombreux sur la banquise : ours, loups... Mais si personne n'a jamais pu vérifier ni la force ni l'habilité de Glouton à la baston, c'est qu'il y a une raison : face à cette teigne et ce bonimenteur de génie, personne ne résiste !
Ce premier tome nous amène à découvrir un héro 100% grinçant, qui, égoïste et sans morale, écume le Grand Nord. Et, quand ce solitaire s'entiche d'un chien, Médor, il n'a pas encore décidé s'il allait le manger, en faire un fauteuil... ou un ami ! En attendant, il prétend juste avoir fait caca dessus...
Envoyé par César chez les Sarmates, dans les steppes de l'Oural, afin de sécuriser les positions romaines à l'est, Alix va faire la rencontre du roi sarmate Eunonès. César veut s'assurer de la neutralité du roi de cette tribu nomade en y envoyant Alix. Arrivé dans les steppes, celui-ci sera capturé par les Androphages, une armée de chasseurs du nord ayant pour cheffe la géante Personne. Au sein de cette peuplade, notre héros sera emmené par leur cheffe au bord du monde afin d'y trouver un cheval fabuleux qui pourrait devenir la monture de la géante.
• Une ouverture de la collection Électrogène pour toucher plus de lecteurs.
• Une aventure initiatique dans un univers magique et mystérieux, nourrit de mythologies orientales, explorant des thèmes riches et profonds.
• Une quête épique au rythme captivant, menée par des héroïnes charismatiques.
Dans les ruelles sombres de Tyniry, une ombre fugace évolue de toit en toit, aussi furtive qu'un rapace. Ashtiri, une ancienne esclave de 17 ans, est devenue voleuse pour survivre. La meilleure, d'ailleurs. Et sa réputation a franchi les frontières : le roi d'Ofayne la mandate afin d'accomplir une mission décisive. Impuissant devant une armée de démons à la progression implacable, le souverain a l'espoir fou qu'Ashtiri retrouvera le dernier Lion d'albâtre, un mage-guerrier légendaire. Dans cette quête au cœur d'un environnement hostile, les convictions d'Ashtiri vacillent une à une face aux volontés des divinités cosmiques, maîtresses du destin des mortels.
L'Hiver du mécontentement, c'est ainsi que le journal le Sun qualifia l'hiver 1978-1979, où des grèves monstrueuses paralysèrent des mois durant la Grande-Bretagne. Voici venir l'hiver de notre mécontentement, ce sont aussi les premiers mots que prononce Richard III dans la pièce de Shakespeare. Ce personnage, la jeune Candice va le jouer, dans une mise en scène exclusivement féminine. Entre deux tournées à vélo pour livrer des courriers dans un Londres en proie au désordre, elle cherchera à comprendre qui est Richard III et le sens de sa conquête du pouvoir. Au théâtre Warehouse, lors d'une répétition, elle croisera une Margaret Thatcher encore méconnue venue prendre un cours de diction et déjà bien décidée à se hisser à la tête du pays. Elle fera aussi la rencontre de Jones, jeune musicien brutalement licencié et peu armé face aux changements qui s'annoncent.
Thomas B. Reverdy écrit le roman de cet hiver qui a sonné le glas d'une époque et accouché d'un autre monde, un monde sans pitié où Just do it ne servira bientôt qu'à vendre des chaussures. Mais il raconte aussi comment de jeunes gens réussissent à s'y faire une place, en luttant avec toute la vitalité, la détermination et les rêves de leur âge.
Amateur de littérature classique et spécialiste de la parodie, B-gnet
revisite les grands classiques de cape et d'épée. Le shérif de
Nottingham, Tyrano de Bergerac, Chimène l'enquête et Long John Silver
Spoon se côtoient sans peur et sans reproche au coeur de récits tordus
et tordants ! Et cela en prose et en BD, tout simplement.
Qu'est-ce que le système nerveux des homards nous enseigne sur l'importance de se tenir droit et sur la réussite ? Pourquoi les Égyptiens accordaient tant d'égards à ceux qui chérissaient leurs prochains comme les plus grands des dieux ? Quels chemins terrifiants empruntons-nous lorsque nous devenons arrogants ou revanchards ?
Le Dr Peterson nous entraîne dans un incroyable voyage au coeur de la discipline, de la liberté et de l'aventure humaine, élaborant une nouvelle sagesse à travers 12 règles de vie simples, profondes et même surprenantes.
RÈGLE N° 1
Tenez-vous droit, les épaules en arrière
Soignez votre posture. Cessez de vous avachir et de voûter le dos. Dites le fond de votre pensée. Redressez-vous et regardez devant vous. Osez vous montrer dangereux.
Dès le premier jour du collège, Marco comprend que tout se complique
: malheur à lui s'il ne porte pas les bonnes chaussures, s'il a la
réputation d'être un intello, s'il se retrouve entre les griffes de
durs à cuire et s'il n'a pas de téléphone portable... Heureusement,
dans son immeuble vit aussi KHABY, qui aidera Marco à faire face aux
innombrables problèmes de la vie quotidienne comme il aime lui : en
commençant par le plus simple !
Connaissez-vous le fou qui était sage ? Il se nomme Nasreddine Hodja et ses brèves histoires ont fait le tour du monde : petits et grands malins y découvriront, derrière le rire, des vérités simples et lumineuses comme le jour. Un recueil de plus de 60 histoires tout en sagesse, à la lisière de l'absurde et de la raison.