Quand il cherche sa meilleure blague, Petit Pied raconte dans un
style simple des petites histoires de la vie. Tantôt sensible,
tantôt naîf mais toujours plein d'humour, cet album est un recueil de
strips parlant de sujets classiques tels que l'amour, la mort, la
confiance en soi, les cailloux, la tristesse, le soleil... Jouant
avec les mots et les codes de la BD, Petit Pied s'amuse et sort des
cases.
Une maman et ses enfants imaginent ensemble et partagent en rêve le chemin pour grandir... Une histoire pour aborder avec tendresse une des grandes peurs de l'enfance, celle d'être séparé, à laquelle il est possible de répondre sans fausse promesse lorsqu'on parle d'amour, de transmission et de confiance.
Une partie des droits d'auteur est reversée au programme de l'IGR : Mieux vivre le cancer
Cet album est un outil d'aide à la discussion pour les familles, utile pour rassurer l'enfant sur son autonomie et affronter ensemble les peurs de séparation, notamment dans le cas de la maladie d'un des parents. L'album n'évoque cependant directement ni la maladie, ni la mort, afin de pouvoir mis entre toutes les mains, et intéresser toutes les familles : les thématiques de l'autonomie, de la transmission et de la permanence de l'amour et du projet parental sont en effet communes à toutes les parentalités.
Tax law and public finance in Rwanda presents the state of play of public finances and tax laws in Rwanda. It sumarises the regulation of public ressources and public expednitures before presenting an overview of tax regulation in Rwanda, as one of the major source of income for the States worldwide. This book therefore provides the basic information relating to law governing the two connected domains of law in Rwanda.
Les biens culturels ne sont pas des marchandises comme les autres. Laisser les biens culturels aux aléas du "tout marchand" conduirait à la disparition des biens essentiels à la satisfaction des individus. Dans le processus effréné de la colonisation culturelle règne l'ordre du monde : la prédominance de l'impérialisme culturel. Par la diversité de ses propriétés optiques, le miroir dévoile et révèle ici plusieurs facettes d'un objet ou d'un lieu.
Baudelaire ne fait pas mystère de professer un goût profond et raffiné, voluptueux et nuancé, pour le culte de Bacchus mais encore faut-il saisir toute l'importance qu'à profusion cette passion dionysiaque revêt dans sa poésie, celle-ci se parant de formes inouïes et nouvelles. Après une étude de l'aspect doublement dionysiaque des Illuminations de Rimbaud, l'auteur entend se consacrer ici exclusivement au Baudelaire dionysiaque.
Au regard du droit, l'âge est d'abord une variable juridique permettant d'appréhender le sujet de droit, de la conception à la vieillesse. L'âge influe sur la détermination par le législateur du régime juridique applicable. Par ailleurs, l'âge permet à l'individu de définir un positionnement social, individuel ou collectif qui le place en situation de communication, d'affirmation ou, au stade de la vieillesse, en situation de dépendance. Enfin, l'âge constitue un déterminant des comportements de consommation.
Les interrogations soulevées par la culture en Afrique noire se retrouvent avec plus de force encore dans le domaine de l'art. Immergés dans une nouvelle époque, cette culture pétrie de traditions, constituée par l'ensemble des cultures particulières, régionales, distinctes et cet art dont les objets rituels sont aujourd'hui exposés devant le grand public, ont-ils le choix entre imiter, s'adapter, ou peuvent-ils faire évoluer les normes internationales vers une prise en compte de leur propre monde ?
L'enfant - le mineur - est souvent présenté comme source de risques. Mais a-t-il des droits ? Peut-il engager sa responsabilité civile, pénale, disciplinaire ? Peut-il s'exprimer et porter plainte ? Que savons-nous du statut fait aux enfants en France et que savent-ils de leurs droits ? Ce jeu de questions-réponses entend répondre aux principales interrogations sur le statut des enfants de France.
Divers événements ont marqué l'histoire récente de la discipline du travail social : modifications à certaines dispositions législatives régissant les professions, transformation des structures d'organisation des services de santé et des services sociaux, questionnement sur les compétences professionnelles à acquérir et sur les programmes de formation, regain d'intérêt pour le travail social international. Tous ces éléments ont rendu nécessaire la réédition de cet ouvrage d'introduction au travail social.
La qualité de cette oeuvre collective tient à la qualité de la contribution des auteurs qui ont accepté de participer à cette aventure. Comme pour les éditions précédentes, les différents chapitres témoignent d'une volonté d'exprimer un point de vue où la clarté de la pensée va de pair avec la profondeur de la réflexion. Cependant, cette troisième édition s'en distingue par l'insertion de nouveaux chapitres, la réorientation de certains chapitres antérieurs et la mise à jour de l'ensemble de l'ouvrage.
Dans cette étude, Pie-Aubin MABIKA tente de saisir l'évolution de la chanson congolaise de la rive droit du fleuve Congo, dont Brazzaville est la capitale. Il traite de cette chanson de ses origines jusqu'à l'aube du IIIè millénaire. Grâce à l'analyse des textes, pour l'essentiel traduits du lingala par lui-même, l'auteur met au jour des thèmes récurrents : la vie quotidienne, les rapports familiaux, les relations de couple, le pouvoir politique... Une mise en évidence des relations entre événements sociaux et expression artistique.
L'ouverture à une tradition réflexive, à une esthétique qui se découvre comme un lieu de l'inachevé, de compréhension, d'interrogation plurielle, critique et fondatrice d'une société éthique qui réconcilie l'homme avec l'humain ; l'homme et son époque, revendique un sens prononcé du devoir de culture ; une école à une démarche qui tranche avec les médiocrités de nos existences de survie, de la soumission à la logique de l'identité et de l'indifférence. Par la maîtrise intelligible du champ épistémologique, cet ouvrage prend position dans un débat contradictoire avec les critères hégémoniques du sens a priori ; les dogmatismes des normes d'évaluation et d'appréciation esthétique. Il ouvre les yeux de l'intelligence africaine et ceux d'autres horizons culturels négligés que l'égoïsme des puissances veut toujours voir fermer ; élabore des réflexions théoriques à la constitution d'une esthétique ouverte aux exigences de l'ère du temps ; sonde les limites et l'inefficacité des systèmes pour se frayer des passages, se redonner du sens, et répondre présent au mouvement des enjeux esthétiques du nouveau monde des altérités.
Qui se souvient des revendications des groupes populaires des années 1970? Pourtant, ils furent l'amorce d'un formidable mouvement qui allait influencer durablement le système de services sociaux québécois. Quels ont été les principaux jalons de leur évolution au cours des quarante dernières années ? Ils sont passés de l'État providence au partenariat, avec la montée du néolibéralisme comme toile de fond. Sous l'impulsion de la conjoncture sociopolitique, que sont les groupes communautaires devenus ? Chose certaine, ils ont peu en commun avec ce qu'ils étaient il y a à peine vingt ans parce qu'ils ont subi une profondemutation. Telle est la thèse de ce livre qui conclut à un changement de paradigme. À partir d'une enquête de terrain, ce volume s'adresse à toute personne qui s'interroge sur la pratique et le devenir du mouvement communautaire.
On parle souvent de l'importance de la transmission intergénérationnelle des savoirs. Ce livre fait le pont entre un professeur/chercheur engagé depuis longtemps dans ce domaine d'étude et une nouvelle génération de praticiens à venir.
Stéphane Grenier, professeur, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue.
À la fois rapport de recherche et essai analytique, l'étude apporte une contribution substantielle au débat sur l'évolution du mouvement communautaire. L'auteur amène des pistes d'analyse qui alimenteront la réflexion et le débat chez les acteurs organisationnels et professionnels autant du milieu communautaire que du réseau public.
Clément Mercier, professeur associé, Université de Sherbrooke
Jean-Pierre Deslauriers est professeur associé auDépartement de travail social de
l'Université du Québec en Outaouais.
Au sein de l'État, Castier Rony, agent des services spéciaux, est chargé de traiter les dossiers épineux relevant de la sûreté nationale. Cet exercice lui demande une préparation minutieuse accompagnée de réflexions et stratégies permettant de mener à bien les différentes missions qui lui sont confiées. Menant une double vie, Castier Rony vous invite à suivre, avec suspens, ses aventures palpitantes d'espion.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Dans Le nettoyeur, Terry Jonathan Pie nous promène au coeur des états d'âme d'un infiltré en mission.
L'argot n'est pas qu'un phénomène français, en témoignent les recherches sur les langages périphériques menées dans toute l'Europe. Et l'argot n'est pas un, il se décline dans l'espace, le temps, la société. Il entretient un rapport privilégié avec la bande dessinée ; dans cet ouvrage on trouve des exemples d'Astérix et d'autres héros traduits dans toute une série de langues, mais aussi des réflexions didactiques. Par ailleurs, plusieurs contributions se consacrent à des oeuvres littéraires dans lesquelles l'auteur se sert de l'argot pour caractériser un certain milieu (drogue, université, armée...). Qui dit argot dit langage des jeunes, langage branché - celui-là aussi est représenté, au travers d'études empiriques et lexicographiques.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage, abondamment illustré d'exemples, se veut un outil pédagogique pour faciliter la compréhension de ce "Marketing de rue" tant développé par ses acteurs en Afrique. Son but est de mettre à la disposition des étudiants et responsables d'entreprises un manuel leur permettant de saisir les opportunités qui leur sont offertes par ce nouveau marché que représente la rue et où se déroulent des pratiques commerciales "agressives" et une concurrence farouche entre les entrepreneurs individuels, les grandes sociétés et les Petites et Moyennes Industries.
Sur la route de Kildare, coincé derrière un tracteur au volant de sa voiture, Jonathan Conway écoutait lui aussi les infos. Il arrivait aux mêmes conclusions qu’Ann et son beau-père de l’autre côté de l’île : ils devaient faire face à un serial killer qui affectionnait le réseau du Dart dublinois. Avant de continuer sa route, le com¬missaire se mit sur le bas-côté et appela la cellule, espérant que Comyn soit déjà arrivé à la « cathédrale » ou du moins dans son bureau du sous-sol, comme il se plaisait à le dire.
La sonnerie retentit d’abord sur le bureau de marbre puis fut déviée sur les postes de Maguire et Comyn. Ce dernier se pré-cipita pour répondre et posa son café sur le radiateur du bureau de Maguire :
– Comyn ? Conway à l’appareil. Vous avez entendu je suppose ? Il faut demander à Haenen de nous rejoindre tout de suite là-bas !
– Nous ?… Je vous accompagne ?
1
Les paysages irlandais avaient toujours eu sur moi des effets
apaisants. Quand l'inspiration me manquait, que ma plume se
faisait aride, j'aimais m'y réfugier. La beauté incomparable de ses
plaines, le calme vivifiant qui émanait de certains coins, à l'écart
du brouhaha des villes de ma Belgique natale, me rendaient
l'esprit propice à la création. J'avais cette fois posé mes bagages
non loin de Kilkee, une petite ville de la côte Ouest. Plus exactement
à Kilfearagh, où j'avais loué un modeste petit cottage. Mes
journées se déroulaient toutes de la même manière : je passais mon
temps entre mes interminables promenades dans les environs de
Castle Point et les heures entières à rester assis derrière mon antique
ordinateur portable, sur l'unique chaise relativement confortable
du cottage. J'avais renoncé, cette fois, à louer un véhicule.
Pas que la conduite à gauche me pose un réel problème, mais
j'avais pu remarquer que l'incroyable beauté de la plupart des
paysages échappait à mon attention durant la conduite le long de
ces routes tracées essentiellement en lacet. Je dois bien le reconnaître, ma connaissance de la région progressait nettement
plus que mon manuscrit dont les pages restaient désespérément
blanches.
Enroulée dans sa maigre et malodorante couverture, cela faisait
bien dix fois qu'elle se retournait sur la banquette où elle s'était
réveillée en revenant de cette soirée avec sa cousine belge chez
qui elle passait ses vacances. Une fois de plus, elle ouvrit les yeux
et tenta de percevoir dans la pénombre ce qui l'entourait dans la
pièce où elle se trouvait. Mais le noir était total et, malgré la chaleur
ambiante, elle avait une immense sensation de froid. Il faut
dire qu'elle ne savait pas dans quelles circonstances elle s'était
retrouvée à moitié nue sous une fine couverture. Elle avait bien
cherché à tâtons ses vêtements mais n'avait rien trouvé. À chaque
mouvement, elle sentait le sang lui battre les tempes et se mouvoir
lui demandait des efforts surhumains. Elle réussit quand même à
se redresser sur ses coudes et à fixer le seul point lumineux que
ses yeux embrumés pouvaient percevoir dans le noir. Ce devait
être, selon elle, la lumière filtrant par le trou d'une serrure.
Alors qu'elle tentait de se lever, le bruit fracassant qui l'avait
déjà fait sursauter une dizaine de fois se fit à nouveau entendre.
Figée sur place, elle porta ses mains aux oreilles tant il lui blessait
les tympans et résonnait encore de longues minutes dans sa tête
lourde après qu'il se soit arrêté.
Comme à chaque fois qu'elle pliait le bras, elle pouvait ressentir
la douleur d'une piqûre dans le creux du coude. Elle attendit
que le silence revienne et, prudemment, ôta les mains de ses
oreilles en notant au passage qu'elle n'avait plus les grandes boucles
d'oreilles qu'elle portait habituellement. Elle sentit monter en elle
la peur, et les larmes envahirent ses yeux. Elle ne comprenait rien
de ce qui lui arrivait !
D'avril 1939 à mai 1943, le pape Pie XII a consacré 79 audiences du mercredi aux jeunes époux ; les textes sont ici rassemblés pour former un recueil de conseils spirituels et humains à l'attention de ceux qui se lancent dans la vie matrimoniale.
La mission éducatrice des parents, la vraie paix du foyer, le sacrement fondement et garantie de la famille chrétienne, la chasteté conjugale, la dévotion au Sacré-Coeur, le pardon des offenses... voici quelques-uns des thèmes développés au cours de ces catéchèses.
Un livre utile pour ceux qui fondent un foyer, ou pour les familles qui cherchent une aide pour leur vie de parents.
Publié avec l'autorisation de la Librairie Editrice du Vatican.
Rêvé ? Non, je n'avais pas rêvé. Et elle s'appelait Lisa.
Dix ans déjà. Dix ans que j'étais allé me perdre dans la lande irlandaise
en quête d'inspiration. Une décennie que j'avais rencontré
une gamine rousse à l'air rebelle qui m'avait conté l'histoire
la plus incroyable qu'il m'ait jamais été donné d'entendre.
Ce soir, pourquoi ai-je allumé ce téléviseur ? Un vieux poste
que la propriétaire de l'appartement que j'occupe depuis cinq ans
sur Dargle Road, petite rue perpendiculaire à Drumcondra
Road, l'artère qui relie la ville à l'aéroport de Dublin, m'avait
laissé en le quittant. Je n'en sais rien. Mais ce que j'ignore encore
plus, c'est comment je me suis retrouvé à écouter une
émission sur les mystères de la maladie ! J'allais faire ma
vaisselle du jour après des heures de folles courses pour déposer
mon dernier livre auprès d'un éditeur qui ne me roulerait
pas comme l'avait fait le dernier avec qui j'avais traité.
Je passai par le petit salon pour prendre les assiettes de mon
repas en tête à tête avec mon inséparable compagnon Wallace,
un Léonberg qui me colle le train depuis quatre ans et qui est
mon confident des mauvais soirs. Je regardais la pluie tomber
sur le toit de l'immeuble d'en face quand mon attention fut
attirée par cet écran noir qui ne s'était allumé qu'en de très
rares occasions et je me dis que, n'ayant rien de nouveau à
écouter sur ma chaîne hi-fi, autant allumer « la boîte qui parle
et bouge à la fois ». Je cherchai longuement la télécommande
dans les meubles du salon et la trouvai derrière un Bouddha au
sourire narquois. Je poussai sur un bouton au hasard et tombai
sur la chaîne nationale, la RTE.
Une encyclique écrite dans un contexte historique compliqué, et dans un style auquel nous ne sommes peut-être plus habitués. C'est pourquoi nos avons cru opportun de la faire précéder d'une introduction, et d'éditer également la déclaration sur l'éducation du Concile Vatican II.
Le pape Pie XI rappelle l'importance de l'éducation chrétienne des enfants, non pas la pédagogie, mais surtout la transmission du savoir à l'école. L'objectif de l'encyclique est résumé par ces quelques questions : « A qui appartient-il de donner l'éducation ? Quel est le sujet de l'éducation ? Quelles conditions de milieu requiert-elle nécessairement ? Quelle est la fin et la forme propre de l'éducation chrétienne selon l'ordre établi par Dieu dans l'économie de sa Providence ? »
Il s'efforce de montrer, en particulier, que l'Etat ne peut avoir la mainmise sur l'Education, et que l'Eglise, parce qu'elle aide les hommes à parvenir à leur fin surnaturelle, a également des droits éducatifs.
Un texte intéressant, peut-être ancien sur certains aspects, mais dans lequel le Pape rappelle les principes fondamentaux sur l'éducation chrétienne de la jeunesse.
Lettre encyclique du Pape Pie XI sur le mariage chrétien. Encyclique que nous faisons précéder d'une brève présentation, car si l'enseignement de l'Eglise catholique sur le mariage n'a pas changé, la façon d'aborder ce sacrement a évolué. Une lecture au pied de la lettre du texte pourrait provoquer quelques désaccords.
On retrouve dans cette encyclique une présentation des fondements et des fins du mariage, le Pape ayant recours pour cela à saint Augustin.
Comme dans toute encyclique, Pie XI en profite pour mettre en garde les fidèles contre les difficultés auxquelles ils sont confrontés. Enfin, le Pape donne quelques conseils aux futurs époux, conseils qui sont toujours d'actualité.
This volume unites the perspective of business ethics with approaches from strategic management, economics, law, political science, and with philosophical reflections on the theory of Corporate Citizenship and New Governance. In view of the internationalization of the (global) economy and the free movement of capital, new instruments of political coordination are needed. These societal changes trigger the two closely intertwined challenges examined in this book. The first challenge relates to the role and the self-conceptualization of business firms as corporate citizens within society. Companies are increasingly expected to assume the social responsibility of helping to shape the rule-framework of globalization. The second challenge refers to the form of the engagement in local, national and international processes of governance. To more credibly and effectively tackle these challenges, corporate actors are ever more participating in rule-setting processes together with civil society organizations and the government.