Pourquoi se fait-on vacciner contre le Covid-19 - ou non ? Pourquoi se munit-on d'un pass sanitaire - ou non ?
« Ce qu'il y a d'extraordinaire, c'est de constater combien tout ce que les résistants au discours gouvernemental ont annoncé dès le début de la campagne de "vaccination" s'est avéré et continue de se vérifier ! Les lanceurs d'alerte ? On les déprisait, on les traitait de complotistes. »
Au milieu de l'immense confusion créée par nos gouvernants (médicale, économique, politique, et même familiale), Stéphane Polsky nous invite ici à mieux voir dans quelle mesure la décision que l'on croit prendre d'approuver ou non l'obligation vaccinale et/ou la présentation d'un pass sanitaire nous échappe. Les Big (Pharma, Data...), l'État et ses médias entrent aussi, et pour beaucoup, dans notre choix. Avec précision et finesse, et d'un ton pamphlétaire non dénué d'humour, l'auteur passe en revue les deux années de « crise sanitaire due au Covid-19 » qui viennent de s'écouler.
Ce livre s'adresse aux personnes touchées par la propagande gouvernementale, qui le regrettent... et à tou.te.s celles et ceux qui en souffrent et refusent de s'y soumettre.
Du fait de l'urgence environnementale, il est essentiel de se poser la question de la pertinence morale de mettre au monde des enfants, ainsi que l'impact d'un tel choix. Luka Cisot livre dans cet essai le fruit de ses recherches et de ses réflexions sur le sujet : une approche en profondeur et toute en subtilité, laissant les champs ouverts, sans réponse simpliste.
Qu'il s'agisse de la situation écologique, de tensions géopolitiques, de la pandémie en cours ou de la polarisation des discours, la reconfiguration sociale contemporaine repose le sens de la procréation, alors que les nouvelles techniques de la reproduction font tomber de plus en plus d'obstacles biologiques. Les équilibres écologiques imposent des limites aux activités humaines. Pour réduire l'empreinte écologique de l'humanité, la démographie est l'une des trois variables principales. Cet ouvrage investigue les différentes facettes qui éclairent cette variable, à la lumière de l'urgence environnementale contemporaine.
Quel est l'impact à venir de la 5G dans le fonctionnement de notre société ? En particulier, quel rôle peut-elle jouer dans les menaces qui pèsent sur la démocratie ? « La thèse de ce livre peut se résumer ainsi : La 5G et le système technique associé, dont elle est un élément clé, constituent un outil utile et nécessaire à l'instauration d'une dictature aux couleurs du XXIe siècle ; Nul ne connaît l'avenir mais si les tendances constatées depuis quelques décennies se poursuivent, c'est ce qui arrivera très probablement. »
C'est ce que Denis Bourgeois propose de manière documentée dans cet ouvrage : une justification et un développement de cette thèse, en proposant également des pistes de documentation sur les questions, par ailleurs très préoccupantes, de l'impact du développement de la 5G sur la santé et l'environnement.
Libre et conscient dans le monde digital est un ouvrage pratique qui montre les phénomènes biochimiques expliquant comment les nouvelles technologies mettent en état de surcharge cognitive la population, et qui propose des solutions concrètes pour sortir de la dépendance ou de la surconsommation d'écran.
Le livre est construit autour de 6 axes et l'ensemble est basé sur les publications scientifiques les plus récentes. Les références sont citées tout au long de l'ouvrage. Ce livre traite de façon exhaustive le sujet des écrans et de leurs effets sur la santé.
L'intention de cet ouvrage est de rendre conscient un phénomène inconscient qui est en train de structurer notre modèle de société. Dans ce manuscrit, au travers d'exemples tirés d'expériences de psychologie sociale, on comprend également comment tous ces problèmes qui semblent avant tout individuels, ont en fait un impact social important.
Pour la première fois, un livre sérieux destiné au grand public, présentant clairement des données scientifiques, peut répondre à une attente de la société civile et des lecteurs, en apportant des solutions à un problème dont pâtit, directement ou indirectement, une grande majorité de la population.
Nos sociétés sont en plein éclatement : des changements radicaux pointent à l'horizon. Dans des directions bien différentes...
Stéphane Chovet, dans une approche transversale, pointe notre regard vers des signaux faibles qui peuvent être annonciateurs de changement de paradigme. Il évoque deux possibilités : une dérive totalitaire basée sur une trame d'aliénation, qu'il analyse finement, et contre laquelle il nous met en garde ; et un autre scénario d'avenir, à tenter, basé sur une relation au vivant respectueuse. Il met la lumière sur des concepts particulièrement novateurs : le res'o, l'anthropolitique, le principe de responsabilité, la dialogique, la pensée complexe. Il observe l'évolution de la Terre (l'hypothèse Gaïa), écoute les peuples premiers, les scientifiques, les spiritualistes.
Ces concepts sont à incarner d'abord à petite échelle pour ceux qui sont prêts à s'engager dans des voies d'avenir qui fassent sens. L'auteur décline un trajet sur ce qui est à ré-enraciner (vie prosaïque et vie poétique), à régénérer (le sentiment religieux) et à renouveler (la politique). Stéphane Chovet a notamment créé un éco-lieu ; il décrit en quoi ce type de module est approprié et donne des conseils dans le cas où un réseau d'éco-lieux prendrait forme dans un monde à réinventer.
Le psychiatre Olivier Labouret nous livre un essai psycho-politique original et accessible pour comprendre les ressorts de la violence contemporaine.
La montée de la violence dans nos sociétés semble inexorable : aggravation des inégalités et de la compétition socio-professionnelle, contrôle sécuritaire et technologique accru des populations, progression des idéologies les plus intolérantes, passages à l'acte agressifs envers soi-même ou autrui, crimes de masse et attentats djihadistes...
Dans l'analyse de ces évènements dramatiques, la violence est systématiquement renvoyée vers la seule responsabilité des individus, alors même qu'elle obéit à des ressorts sociaux et systémiques. La hausse critique de cette violence, en ce début de XXIe siècle, n'est pas analysée pour elle-même en termes anthropologiques et historiques, comme nous y invite René Girard, mais est reléguée dans le champ individuel, voire psychologique. On assiste en effet à un phénomène général de psychiatrisation de la violence attribuant tout conflit au mental individuel. Est-ce à croire que ce phénomène serait détaché de toute réalité sociale ? Pourquoi est-ce l'individu, alors qu'il subit des formes de violence intenses et variées, qui pète toujours les plombs ? Pourquoi toute la violence se concentre-t-elle, se résout-elle, dans un passage à l'acte ?
L'auteur nous interroge sur les racines de cette violence : comment et pourquoi les explosions de violence individuelle, notamment à travers leur interprétation psychiatrique, traduisent-elles une violence plus globale qui se trouve être niée au passage ?
Une plongée dans un Mai 68 authentique avec trois protagonistes du mouvement, mêlant étroitement des archives méconnues, des témoignages et des réflexions pour ressentir et comprendre l'esprit d'un des évènement phare de notre époque.
Mai 1968.
Dans Paris insurgé, un groupe d'étudiants fonde, avec l'accord des principaux mouvements qui sont à la pointe de la contestation, un centre d'information et de communication, le CRIU (Centre de Regroupement des Informations Universitaires) dont l'objectif est de recueillir le maximum de documents (tracts, manifestes, livres blancs, affiches...) qui s'élaborent dans l'effervescence du « mouvement » et de faire circuler cette parole vive et native, parfois brouillonne, parfois géniale, souvent très créative et qui mérite en tous cas d'être lue, entendue, considérée.
De cette initiative naît un livre publié au Seuil Quelle université ? Quelle société ?, aujourd'hui épuisé.
50 ans après, les principaux protagonistes de cette aventure reviennent sur leurs traces, parlent de l'influence de mai 68 sur leurs parcours de vie et relisent ces textes. Que nous disent ces mots d'il y a un demi-siècle? Comment résonnent-ils aujourd'hui ? Certains discours sont datés, mais d'autres retentissent curieusement dans ce monde en proie à une crise de sens profonde.
On ne refera pas Mai 68 (quoique...), mais il n'est certainement pas inutile de boire à nouveau à la source de la dernière grande révolution française, à son insolence, à sa faconde et à son audace joyeuse pour contribuer à débloquer une forme de « créativité politique », sociale, éducative, culturelle... qui fait cruellement défaut en notre époque hyper-formatée.
Ce qui compte le plus, aux yeux de Patrick Norynberg, c'est le pouvoir du Nous. La capacité que nous avons, nous les gens, le peuple, de passer du Je au Nous dans nos têtes, concrètement, dans l'action et au quotidien.
Depuis de nombreuses années, il s'attèle à faire vivre ce processus auprès d'élus locaux, responsables institutionnels, professionnels des collectivités locales, citoyens et leurs collectifs, associations. Tous ces acteurs qui agissent à titre professionnel ou militant pour faire vivre la citoyenneté active, pour construire des projets collectifs et transformer les territoires et les quartiers.Patrick Norynberg est un infatigable pollinisateur pour :
o Témoigner sur des pratiques émancipatrices par la participation citoyenne et proposer des pistes concrètes pour agir. Contribuer à la promotion d'initiatives comme le label Villages et Villes citoyennes ;
o Capitaliser les expériences remarquables, innovantes et valorisantes. Montrer combien les initiatives d'intelligence collective sont nombreuses ;
o Faire des liens entre toutes ces initiatives ;
o Conceptualiser pour interpeller les institutions et contribuer à agir sur les choix stratégiques à venir de l'État et des institutions en matière de citoyenneté et de démocratie...
Découvrez avec lui cette fermentation démocratique sur le terrain : inspirante.
Une image globale et actuelle des Créatifs Culturels
Alors que la société occidentale moderne arrive à bout de souffle, une véritable dynamique collective grandit dans la société civile. Partout dans le monde, des milliers d'individus ont pris la ferme décision de ne plus soutenir un modèle capitaliste, compétitif et patriarcal en déclin.
Ils construisent leurs propres maisons passives, mangent bio et local, boycottent la grande distribution, expérimentent une démocratie participative, deviennent entrepreneurs sociaux, cultivent la terre, rejoignent des banques éthiques ; ils se questionnent sur le sens de leur vie et s'imprègnent de différentes formes de spiritualités ; ils voyagent, innovent, réinventent le lien social et inspirent un nouvel élan de liberté et d'émancipation, au niveau collectif et individuel.
Engagés et en quête de sens, les Créatifs Culturels sont les pionniers, à échelle mondiale, d'un véritable changement de civilisation.
À travers une enquête de terrain et des références historiques et sociologiques majeures, Ariane Vitalis nous présente une vision globale et synthétique des grands enjeux planétaires, de ses différents acteurs d'hier et d'aujourd'hui, en abordant des disciplines et thématiques extrêmement variées.
Le XXIe siècle s'apprête à vivre des mutations sociétales, culturelles, environnementales et épistémologiques profondes et inédites.
À partir de témoignages et récits des diverses phases de constitution d'un conseil, De l'intérieur d'un conseil citoyen apporte des analyses et préconisations de méthode pour faire vivre la démocratie participative ; il en montre les productions bien réelles, mais aussi les avatars.
Gérard Léval s'est penché sur la mise en place des conseils citoyens issus de la loi Lamy sur la politique de la ville, en suivant de près, en tant qu'observateur et consultant, les réunions des conseillers lillois mais aussi en rencontrant des acteurs d'autres instances participatives en action. L'auteur s'arrête sur les étapes et les problèmes rencontrés par les acteurs locaux, a?n d'analyser non seulement les pratiques liées au conseil citoyen, mais plus globalement les multiples enjeux ainsi que les solutions expérimentées sur le terrain.
Comment les conseils citoyens sont-ils constitués ?
Quelles sont les motivations des individus qui s'y engagent ?
Comment conçoivent-ils leur légitimité d'habitants habilités à devenir les interlocuteurs des pouvoirs publics pour l'élaboration des contrats de ville ?
Les trois romans de Michel Hutt sont ici compilés dans une trilogie palpitante qui va vous tenir en haleine quelques jours. Depuis Le Cri du Colibri préfacé par Pierre Rabhi et qui a connu un grand succès, Michel Hutt poursuit l'aventure avec Les Recycleurs et Bonnets jaunes et gilets rouges. Une quête de sens dans un monde en crise et en transition.
Dans le 1er tome (Le cri du Colibri, 2015, préfacé par Pierre Rabhi), Michel Hutt racontait il y a six ans déjà, un effondrement social, économique et sanitaire, avec des mesures de quarantaine, de confinement et de restriction des libertés individuelles, tout en suggérant de nombreuses solutions. Ce manuel pratique de la Transition, construit autour de personnages fictifs attachants et crédibles, éveille la curiosité et présente le concept de décroissance sous un angle nouveau. Les lecteurs du roman ne pourront plus ignorer les évolutions qui s'imposent à nous, et pourront mettre en oeuvre, à leur échelle, des propositions concrètes faites dans le livre, à commencer par la bienveillance !
Dans le 2e tome (Les Recycleurs, 2017), il proposait des alternatives basées sur la proximité, la sobriété, le réemploi et la résilience pour surmonter les conséquences de l'effondrement économique et reconstruire le lien social. On retrouve la joyeuse équipe qui gravite autour de Léa, jeune femme généreuse et optimiste. Cette petite communauté de citoyens engagés cherche à comprendre comment l'Europe a pu s'effondrer d'un jour à l'autre. Un récit touchant, lucide et très concret qui donne envie de faire sa part ici et maintenant, pour que demain soit meilleur qu'aujourd'hui.
Dans le 3e tome (Bonnets jaunes et gilets rouges, 2019), il imaginait comment un cartel de chefs d'entreprise très influents opérait une mainmise sur la démocratie, imposant leur système à des populations totalement asservies, rendues dociles par la crise. Michel Hutt observe les mécanismes et les pistes d'une révolution démocratique, de ses écueils et des conditions qui en permettront le succès. Ce dernier tome est consacré à la question de l'organisation politique et des expériences de transition vécues durant la Grande Crise.