Pourquoi se fait-on vacciner contre le Covid-19 - ou non ? Pourquoi se munit-on d'un pass sanitaire - ou non ?
« Ce qu'il y a d'extraordinaire, c'est de constater combien tout ce que les résistants au discours gouvernemental ont annoncé dès le début de la campagne de "vaccination" s'est avéré et continue de se vérifier ! Les lanceurs d'alerte ? On les déprisait, on les traitait de complotistes. »
Au milieu de l'immense confusion créée par nos gouvernants (médicale, économique, politique, et même familiale), Stéphane Polsky nous invite ici à mieux voir dans quelle mesure la décision que l'on croit prendre d'approuver ou non l'obligation vaccinale et/ou la présentation d'un pass sanitaire nous échappe. Les Big (Pharma, Data...), l'État et ses médias entrent aussi, et pour beaucoup, dans notre choix. Avec précision et finesse, et d'un ton pamphlétaire non dénué d'humour, l'auteur passe en revue les deux années de « crise sanitaire due au Covid-19 » qui viennent de s'écouler.
Ce livre s'adresse aux personnes touchées par la propagande gouvernementale, qui le regrettent... et à tou.te.s celles et ceux qui en souffrent et refusent de s'y soumettre.
Du fait de l'urgence environnementale, il est essentiel de se poser la question de la pertinence morale de mettre au monde des enfants, ainsi que l'impact d'un tel choix. Luka Cisot livre dans cet essai le fruit de ses recherches et de ses réflexions sur le sujet : une approche en profondeur et toute en subtilité, laissant les champs ouverts, sans réponse simpliste.
Qu'il s'agisse de la situation écologique, de tensions géopolitiques, de la pandémie en cours ou de la polarisation des discours, la reconfiguration sociale contemporaine repose le sens de la procréation, alors que les nouvelles techniques de la reproduction font tomber de plus en plus d'obstacles biologiques. Les équilibres écologiques imposent des limites aux activités humaines. Pour réduire l'empreinte écologique de l'humanité, la démographie est l'une des trois variables principales. Cet ouvrage investigue les différentes facettes qui éclairent cette variable, à la lumière de l'urgence environnementale contemporaine.
La « théorie du complot » permet de ridiculiser et de décrédibiliser toute personne osant exprimer des doutes, ou des critiques, sur l'interprétation officielle (celle des gouvernements relayée par les médias mainstream) d'événements politiques de grande ampleur (assassinats, attentats, guerres, pandémies...). Les dissidents sont désormais taxés d'être « complotistes » ou « conspirationnistes ».
Cette attaque ad hominem, destinée à juguler le scepticisme croissant des populations vis-à-vis des élites, a été utilisée massivement dès 1964 par la CIA, pour interdire la mise en cause des conclusions de la Commission Warren (mandatée sur l'assassinat du Pdt J.F. Kennedy).
L'étude universitaire rigoureuse de deHaven-Smith donne des clés simples pour comprendre cette stratégie et se réapproprier le droit de savoir, de comprendre, de douter. C'est un plaidoyer pour redonner une place au débat de société.
Libre et conscient dans le monde digital est un ouvrage pratique qui montre les phénomènes biochimiques expliquant comment les nouvelles technologies mettent en état de surcharge cognitive la population, et qui propose des solutions concrètes pour sortir de la dépendance ou de la surconsommation d'écran.
Le livre est construit autour de 6 axes et l'ensemble est basé sur les publications scientifiques les plus récentes. Les références sont citées tout au long de l'ouvrage. Ce livre traite de façon exhaustive le sujet des écrans et de leurs effets sur la santé.
L'intention de cet ouvrage est de rendre conscient un phénomène inconscient qui est en train de structurer notre modèle de société. Dans ce manuscrit, au travers d'exemples tirés d'expériences de psychologie sociale, on comprend également comment tous ces problèmes qui semblent avant tout individuels, ont en fait un impact social important.
Pour la première fois, un livre sérieux destiné au grand public, présentant clairement des données scientifiques, peut répondre à une attente de la société civile et des lecteurs, en apportant des solutions à un problème dont pâtit, directement ou indirectement, une grande majorité de la population.
Quel est l'impact à venir de la 5G dans le fonctionnement de notre société ? En particulier, quel rôle peut-elle jouer dans les menaces qui pèsent sur la démocratie ? « La thèse de ce livre peut se résumer ainsi : La 5G et le système technique associé, dont elle est un élément clé, constituent un outil utile et nécessaire à l'instauration d'une dictature aux couleurs du XXIe siècle ; Nul ne connaît l'avenir mais si les tendances constatées depuis quelques décennies se poursuivent, c'est ce qui arrivera très probablement. »
C'est ce que Denis Bourgeois propose de manière documentée dans cet ouvrage : une justification et un développement de cette thèse, en proposant également des pistes de documentation sur les questions, par ailleurs très préoccupantes, de l'impact du développement de la 5G sur la santé et l'environnement.
La protection de la biodiversité est un enjeu sociétal majeur. Cependant, l'Union Européenne échoue systématiquement à répondre aux objectifs qu'elle s'est fixés en la matière.
Comment expliquer cela ? Quels sont les enjeux ? Et surtout comment y remédier ?
Le modèle économique européen, qui porte le sceau de l'idéologie néolibérale, s'avère mortifère pour la biodiversité. Agriculture industrielle, dérives du « tout technologique » et mirages de la bioéconomie portent en germes des bouleversements écologiques sans précédent. Mais il n'y a pas de fatalité. La nature et les lois qui la régissent sont une source féconde d'inspiration.
À travers une analyse de sept mécanismes européens de destruction de la biodiversité, Inès Trépant jette des ponts entre le monde politique et le milieu naturaliste. Elle met en lumière l'urgence de décloisonner les politiques environnementales, agricoles, énergétiques, industrielles et commerciales en Europe, replaçant la biodiversité au coeur du projet économique européen.
Un changement radical s'impose et des alternatives existent !
Nos sociétés sont en plein éclatement : des changements radicaux pointent à l'horizon. Dans des directions bien différentes...
Stéphane Chovet, dans une approche transversale, pointe notre regard vers des signaux faibles qui peuvent être annonciateurs de changement de paradigme. Il évoque deux possibilités : une dérive totalitaire basée sur une trame d'aliénation, qu'il analyse finement, et contre laquelle il nous met en garde ; et un autre scénario d'avenir, à tenter, basé sur une relation au vivant respectueuse. Il met la lumière sur des concepts particulièrement novateurs : le res'o, l'anthropolitique, le principe de responsabilité, la dialogique, la pensée complexe. Il observe l'évolution de la Terre (l'hypothèse Gaïa), écoute les peuples premiers, les scientifiques, les spiritualistes.
Ces concepts sont à incarner d'abord à petite échelle pour ceux qui sont prêts à s'engager dans des voies d'avenir qui fassent sens. L'auteur décline un trajet sur ce qui est à ré-enraciner (vie prosaïque et vie poétique), à régénérer (le sentiment religieux) et à renouveler (la politique). Stéphane Chovet a notamment créé un éco-lieu ; il décrit en quoi ce type de module est approprié et donne des conseils dans le cas où un réseau d'éco-lieux prendrait forme dans un monde à réinventer.
Les créatifs culturels représentent une tendance émergente dans les sociétés modernes : celle de la prise de conscience de revisiter le lien fondamental qui existe entre les humains et la nature.
Constituant environ un tiers de la population occidentale, ces individus incarnent des valeurs postmatérialistes de bien-être, et sont ainsi animés par une intention éthique et responsable d'habiter la planète.
La spiritualité et le développement personnel semblent être au coeur de leur démarche.
Ce livre éclaire le rôle et l'in?uence de la spiritualité non-religieuse des créatifs culturels dans la construction d'une société humainement et écologiquement soutenable.
Il apporte une compréhension de la vision critique de la société actuelle, de la foi en une société nouvelle et ainsi de la ?n de l'adhésion au mythe moderne du progrès.
La spiritualité devient alors une voie d'action pour se changer d'abord soi, mais également pour soigner et réparer une société en pleine crise existentielle.
Selon les auteurs, la probabilité d'un effondrement augmente rapidement ; ils en développent les causes nombreuses.
Crises géopolitiques, financières, économiques, sociales, écologiques et désorganisation des réseaux de distribution : d'où viendront les premiers symptômes ? Or, en cas de problème, vers qui vont se tourner les citoyens ? Vers leur maire ! C'est pourquoi il est prudent de se préparer à l'autonomie et à la résilience.
Face à l'effondrement, si j'étais maire ? est une alerte à l'intention des élus - en particulier les maires et les conseillers des communes rurales - ainsi que des citoyens : comment organiser l'autonomie des services vitaux des communes et, sans rien attendre de l'État, les rendre les plus résilientes possible ?
Les auteurs développent au fil des pages des pistes d'une autonomie locale, entre autre, l'approvisionnement en eau, en nourriture, en énergie, les services de santé, avec des annexes très concrètes.
Le « numérique » a envahi notre monde au point d'exercer une tyrannie : analyse et riposte.
L'état inquiétant du monde actuel et son rapport au numérique sont peu pensés sous l'angle de leurs liens les plus profonds. C'est que la partition des cerveaux, comme celle des ordinateurs, fonctionne bien : elle permet au projet despotique de se poursuivre avec une vigueur exceptionnelle. De fait, jamais la colonisation des esprits, des imaginaires et des corps n'a été rendue aussi massive et performante entre les mains d'un tout petit nombre.
Ce livre s'efforce ainsi de rappeler comment le numérique a pu envahir nos vies : un « virtuel » qui en est venu à évincer le « réel » jusqu'à prendre toute sa place. Il s'intéresse à la nature des changements auxquels nous sommes confrontés, à leurs paradoxes et à leurs outils (les « TIC »).
Il s'attache à la question de la surveillance et du contrôle généralisés, point de bascule de nos sociétés vers le modèle d'une tyrannie numérique déjà effective. Il propose de contourner le piège historique que nous avons forgé, en désignant les voies possibles de la résistance citoyenne et en esquissant le projet d'un homme post-numérique. Il précise enfin ce que pourrait être une mobilisation post-numérique à la hauteur des enjeux et des défis contemporains.
La lutte contre le terrorisme opère une transformation profonde du droit. Celui-ci n'a plus actuellement le langage pour base, mais bien l'image.
Un individu devient terroriste, non pas pour avoir commis un acte déterminé, mais parce qu'il est montré comme tel. L'acte et l'organisation terroristes n'acquièrent une matérialité que comme objets du regard du pouvoir.
La mutation de l'ordre juridique est si profonde qu'elle révèle un bouleversement de l'ensemble de la structure symbolique de la société. La transformation de la langue dévoile le passage d'une société névrotique, construite à partir de la primauté du langage, à une société psychotique, basée sur le règne de l'image.
L'auteur montre cette mutation par une étude, non seulement des lois, mais aussi des procès et des affaires qualifiées de terroristes : Guantanamo, Tarnac, les procès des filières kamikazes en Belgique, et ceux des filières irakiennes en France...
Pour ce faire, il articule critique juridique, politique et concepts de la psychanalyse. Il s'agit de comprendre pourquoi l'annulation de nos libertés prend la forme de la loi : c'est la fin d'un Etat de droit. Il s'agit avant tout d'obtenir notre consentement.
Outre une critique virulente du capitalisme, cet essai propose des pistes de réflexion et de solutions. Il ne s'adresse pas seulement à des spécialistes. Sa pertinence en rend la lecture indispensable à tout citoyen soucieux des dérives sécuritaires de nos États contemporains.
Des autoroutes à Notre-Dame des Landes, en passant par la gestion de l'eau, la journaliste répond à une question : à qui profite le deal quand on confie un service public au privé ?
Ce livre est une plongée dans les coulisses de contrats désastreux : Béthune paie 400 000EUR par an pour que Q-Park encaisse les recettes de son stationnement ; le consortium mené par Vinci pour construire l'aéroport de Notre-Dame des Landes va dépouiller l'État de centaines de millions d'euros ; la SNCF pourrait perdre 200 millions d'euros par an pour rentabiliser la ligne Tours-Bordeaux ; Suez et Veolia sont prêtes à tout pour garder leurs contrats en or.
Qui négocie ces contrats ? Avec quels moyens ? Quelles pressions ? Qu'est-ce qui fait courir nos élus pour confier l'intérêt général au privé ? Incompétence ? Connivence ? Négligence ?
Avec cette enquête, la journaliste fait un constat : si l'État court après le moindre euro quand il s'agit de dépenses sociales, nos gouvernants n'ont pas autant d'états d'âme en laissant filer des millions d'euros d'argent public vers le privé.
Le psychiatre Olivier Labouret nous livre un essai psycho-politique original et accessible pour comprendre les ressorts de la violence contemporaine.
La montée de la violence dans nos sociétés semble inexorable : aggravation des inégalités et de la compétition socio-professionnelle, contrôle sécuritaire et technologique accru des populations, progression des idéologies les plus intolérantes, passages à l'acte agressifs envers soi-même ou autrui, crimes de masse et attentats djihadistes...
Dans l'analyse de ces évènements dramatiques, la violence est systématiquement renvoyée vers la seule responsabilité des individus, alors même qu'elle obéit à des ressorts sociaux et systémiques. La hausse critique de cette violence, en ce début de XXIe siècle, n'est pas analysée pour elle-même en termes anthropologiques et historiques, comme nous y invite René Girard, mais est reléguée dans le champ individuel, voire psychologique. On assiste en effet à un phénomène général de psychiatrisation de la violence attribuant tout conflit au mental individuel. Est-ce à croire que ce phénomène serait détaché de toute réalité sociale ? Pourquoi est-ce l'individu, alors qu'il subit des formes de violence intenses et variées, qui pète toujours les plombs ? Pourquoi toute la violence se concentre-t-elle, se résout-elle, dans un passage à l'acte ?
L'auteur nous interroge sur les racines de cette violence : comment et pourquoi les explosions de violence individuelle, notamment à travers leur interprétation psychiatrique, traduisent-elles une violence plus globale qui se trouve être niée au passage ?
Une plongée dans un Mai 68 authentique avec trois protagonistes du mouvement, mêlant étroitement des archives méconnues, des témoignages et des réflexions pour ressentir et comprendre l'esprit d'un des évènement phare de notre époque.
Mai 1968.
Dans Paris insurgé, un groupe d'étudiants fonde, avec l'accord des principaux mouvements qui sont à la pointe de la contestation, un centre d'information et de communication, le CRIU (Centre de Regroupement des Informations Universitaires) dont l'objectif est de recueillir le maximum de documents (tracts, manifestes, livres blancs, affiches...) qui s'élaborent dans l'effervescence du « mouvement » et de faire circuler cette parole vive et native, parfois brouillonne, parfois géniale, souvent très créative et qui mérite en tous cas d'être lue, entendue, considérée.
De cette initiative naît un livre publié au Seuil Quelle université ? Quelle société ?, aujourd'hui épuisé.
50 ans après, les principaux protagonistes de cette aventure reviennent sur leurs traces, parlent de l'influence de mai 68 sur leurs parcours de vie et relisent ces textes. Que nous disent ces mots d'il y a un demi-siècle? Comment résonnent-ils aujourd'hui ? Certains discours sont datés, mais d'autres retentissent curieusement dans ce monde en proie à une crise de sens profonde.
On ne refera pas Mai 68 (quoique...), mais il n'est certainement pas inutile de boire à nouveau à la source de la dernière grande révolution française, à son insolence, à sa faconde et à son audace joyeuse pour contribuer à débloquer une forme de « créativité politique », sociale, éducative, culturelle... qui fait cruellement défaut en notre époque hyper-formatée.
Ce qui compte le plus, aux yeux de Patrick Norynberg, c'est le pouvoir du Nous. La capacité que nous avons, nous les gens, le peuple, de passer du Je au Nous dans nos têtes, concrètement, dans l'action et au quotidien.
Depuis de nombreuses années, il s'attèle à faire vivre ce processus auprès d'élus locaux, responsables institutionnels, professionnels des collectivités locales, citoyens et leurs collectifs, associations. Tous ces acteurs qui agissent à titre professionnel ou militant pour faire vivre la citoyenneté active, pour construire des projets collectifs et transformer les territoires et les quartiers.Patrick Norynberg est un infatigable pollinisateur pour :
o Témoigner sur des pratiques émancipatrices par la participation citoyenne et proposer des pistes concrètes pour agir. Contribuer à la promotion d'initiatives comme le label Villages et Villes citoyennes ;
o Capitaliser les expériences remarquables, innovantes et valorisantes. Montrer combien les initiatives d'intelligence collective sont nombreuses ;
o Faire des liens entre toutes ces initiatives ;
o Conceptualiser pour interpeller les institutions et contribuer à agir sur les choix stratégiques à venir de l'État et des institutions en matière de citoyenneté et de démocratie...
Découvrez avec lui cette fermentation démocratique sur le terrain : inspirante.
Comment pouvons-nous si souvent perdre notre liberté de pensée et devenir dépendants d’idées, de certitudes ? Au point de nous amener à justifier la pénurie, l’avidité, l’individualisme, la compétition, parfois violemment, au détriment de la recherche du vivre ensemble et du respect des écosystèmes.
L’Homme serait-il le seul mammifère à pouvoir devenir « esclave » d’une idée et à avoir besoin de s’accrocher à ses certitudes ? Et souvent de façon collective !
Cette addiction semble être à la source des fanatismes et de certains choix de société. Notre modèle économique actuel pourrait en partie en résulter.
Le cas de l’usage de l’argent est exemplaire. Alors que l’humanité s’est donné depuis 40 ans les moyens de l’abondance en libérant la création monétaire des contingences matérielles, la misère s’invite pour le plus grand nombre dans un environnement de plus en plus dérégulé par les activités humaines...
Il est possible de reconnaître la pensée dogmatique qui alimente cette addiction et de s’en libérer par :
- une méthode pour la repérer chez les autres... chez soi et pour s’entrainer à la pensée non dogmatique ;
- des exercices et des pistes pour se déprendre des phénomènes d’hypnose collective et pour en prémunir ses enfants.
Se présentent alors quelques raisons d’espérer et de donner réalité à ses rêves...
Grâce à des notes, un 2e niveau de lecture apportant des précisions, des textes et des références, permet de relier des domaines souvent traités de manière séparée, à savoir la psychologie des comportements addictifs, les attitudes cognitives et l’économie politique et financière.
Une image globale et actuelle des Créatifs Culturels
Alors que la société occidentale moderne arrive à bout de souffle, une véritable dynamique collective grandit dans la société civile. Partout dans le monde, des milliers d'individus ont pris la ferme décision de ne plus soutenir un modèle capitaliste, compétitif et patriarcal en déclin.
Ils construisent leurs propres maisons passives, mangent bio et local, boycottent la grande distribution, expérimentent une démocratie participative, deviennent entrepreneurs sociaux, cultivent la terre, rejoignent des banques éthiques ; ils se questionnent sur le sens de leur vie et s'imprègnent de différentes formes de spiritualités ; ils voyagent, innovent, réinventent le lien social et inspirent un nouvel élan de liberté et d'émancipation, au niveau collectif et individuel.
Engagés et en quête de sens, les Créatifs Culturels sont les pionniers, à échelle mondiale, d'un véritable changement de civilisation.
À travers une enquête de terrain et des références historiques et sociologiques majeures, Ariane Vitalis nous présente une vision globale et synthétique des grands enjeux planétaires, de ses différents acteurs d'hier et d'aujourd'hui, en abordant des disciplines et thématiques extrêmement variées.
Le XXIe siècle s'apprête à vivre des mutations sociétales, culturelles, environnementales et épistémologiques profondes et inédites.
À partir de témoignages et récits des diverses phases de constitution d'un conseil, De l'intérieur d'un conseil citoyen apporte des analyses et préconisations de méthode pour faire vivre la démocratie participative ; il en montre les productions bien réelles, mais aussi les avatars.
Gérard Léval s'est penché sur la mise en place des conseils citoyens issus de la loi Lamy sur la politique de la ville, en suivant de près, en tant qu'observateur et consultant, les réunions des conseillers lillois mais aussi en rencontrant des acteurs d'autres instances participatives en action. L'auteur s'arrête sur les étapes et les problèmes rencontrés par les acteurs locaux, a?n d'analyser non seulement les pratiques liées au conseil citoyen, mais plus globalement les multiples enjeux ainsi que les solutions expérimentées sur le terrain.
Comment les conseils citoyens sont-ils constitués ?
Quelles sont les motivations des individus qui s'y engagent ?
Comment conçoivent-ils leur légitimité d'habitants habilités à devenir les interlocuteurs des pouvoirs publics pour l'élaboration des contrats de ville ?
Quand l’épanouissement de l’individu et celui de la communauté se renforcent : 7 facteurs essentiels pour se repérer au quotidien dans la vie en collectif !
Vivre dans un habitat collectif peut ressembler un petit paradis sur Terre. Mais qu’est-ce qui contribue à la réussite d’une vie collective ? Que doit-on mettre en place ? Quand et comment ?
Autant de questions que peut résoudre pour vous la boussole du vivre ensemble !
• Un outil pratique pour échanger, diagnostiquer les problèmes, mettre en place les étapes d’intervention et développer le potentiel d’un écolieu !
• Les 7 aspects de la boussole du vivre ensemble : 1. Les individus | 2. La communauté | 3. L’intention | 4. La structure | 5. La pratique | 6. La récolte | 7. Le monde
• Rêver ensemble pour créer une nouvelle réalité : la boussole accompagne vos idées
de leur prise de conscience à leur développement constructif au sein du groupe
• Cette boussole est issue des expériences vécues au célèbre écovillage Sieben Linden (Allemagne), cofondé par l’autrice Eva Stützel, facilitatrice et psychologue, il y a plus de 30 ans ! Elle se sert aussi d’une cinquantaine de projets collectifs accompagnés à toutes les étapes de leur création pour établir cet outil du vivre ensemble.
« Ne doutez jamais qu’un petit groupe de citoyens engagés puisse changer le monde.
En fait, c’est la seule chose qui ait jamais changé le monde » - Margaret Mead
Laissons place aux espèces animales et végétales sauvages car le non-humain est un acteur nécessaire contre la crise climatique
À l’heure où il nous faut affronter des transformations sociétales radicales pour faire front aux dérèglements climatiques, l’aménagement du territoire est un facteur crucial, permettant d’agir sur de nombreux leviers en même temps.
Nous devons réapprendre et comprendre comment intégrer le vivant comme un acteur du territoire et non plus seulement comme une ressource. Seule une vision ensauvagée des politiques territoriales permettra de consacrer pour les écosystèmes des espaces de résistance pour résister à la pression anthropique.
Ces lieux, intriqués dans les milieux humains (et non plus seulement sous formes de réserves), seront porteurs des récits politiques et humains de demain.
Pour ce faire, l’ensauvagement s’appuie sur une idée fondamentale : le vivant n’a pas besoin de l’humain pour s’équilibrer, mais l’humain à besoin du vivant. C’est donc un plaidoyer naturaliste, défendant la culture non interventionniste de l’observation.
Plongez dans ce récit de la constitution d'une liste citoyenne et de la campagne qui les a menés à la victoire de la mairie d'Annecy.
Ce manuel décrypte les rouages de la démocratie participative et les mouvements citoyens et est à la fois un guide pour les futures listes citoyennes et un retour d'expérience sur les conditions de réussite d'une campagne montée sans argent, sans parti, avec la seule conviction de citoyen·nes engagées pour un projet de territoire.
Fabienne Grébert aborde notamment les rapports entre les personnalités locales, les conditions de négociation d'une alliance et ses impacts sur le montage d'une équipe à l'agglomération.
Il permettra aux mouvements ou citoyens qui souhaitent se lancer dans cette aventure de déjouer les pièges de la politique politicienne, et de se préparer au mieux à l'exercice d'une campagne dans toutes ses étapes depuis la conception du projet jusqu'à la désignation d'un exécutif.
Ce livre est organisé autour des temps forts de la campagne et contient des encadrés qui donnent un éclairage sur une méthode, des outils d'intelligence collective, des points de repère.
Les trois romans de Michel Hutt sont ici compilés dans une trilogie palpitante qui va vous tenir en haleine quelques jours. Depuis Le Cri du Colibri préfacé par Pierre Rabhi et qui a connu un grand succès, Michel Hutt poursuit l'aventure avec Les Recycleurs et Bonnets jaunes et gilets rouges. Une quête de sens dans un monde en crise et en transition.
Dans le 1er tome (Le cri du Colibri, 2015, préfacé par Pierre Rabhi), Michel Hutt racontait il y a six ans déjà, un effondrement social, économique et sanitaire, avec des mesures de quarantaine, de confinement et de restriction des libertés individuelles, tout en suggérant de nombreuses solutions. Ce manuel pratique de la Transition, construit autour de personnages fictifs attachants et crédibles, éveille la curiosité et présente le concept de décroissance sous un angle nouveau. Les lecteurs du roman ne pourront plus ignorer les évolutions qui s'imposent à nous, et pourront mettre en oeuvre, à leur échelle, des propositions concrètes faites dans le livre, à commencer par la bienveillance !
Dans le 2e tome (Les Recycleurs, 2017), il proposait des alternatives basées sur la proximité, la sobriété, le réemploi et la résilience pour surmonter les conséquences de l'effondrement économique et reconstruire le lien social. On retrouve la joyeuse équipe qui gravite autour de Léa, jeune femme généreuse et optimiste. Cette petite communauté de citoyens engagés cherche à comprendre comment l'Europe a pu s'effondrer d'un jour à l'autre. Un récit touchant, lucide et très concret qui donne envie de faire sa part ici et maintenant, pour que demain soit meilleur qu'aujourd'hui.
Dans le 3e tome (Bonnets jaunes et gilets rouges, 2019), il imaginait comment un cartel de chefs d'entreprise très influents opérait une mainmise sur la démocratie, imposant leur système à des populations totalement asservies, rendues dociles par la crise. Michel Hutt observe les mécanismes et les pistes d'une révolution démocratique, de ses écueils et des conditions qui en permettront le succès. Ce dernier tome est consacré à la question de l'organisation politique et des expériences de transition vécues durant la Grande Crise.
« La vie continue avec nous. »
Telle est la devise de l'institution médicalisée de province (propriété d'un groupe côté en bourse) où ma mère fut accueillie et où je l'ai accompagnée en tant que référente durant ses deux dernières années de vie. Véritable prise en charge de nos aînés ou slogan pour masquer l'exploitation, favorisée par nos gouvernats, de ce gisement que l'on nomme l'or gris ?
Avec ce témoignage, je veux dépasser les stéréotypes et la caricature afin de témoigner, au-delà du sensationel, tout aussi bien du rôle essentiel des professionnels et des bénévoles que des souffrances physiques et psychologiques trop souvent endurées à la fois par les résidents et par leurs familles.
Que celles et ceux qui pensent qu'un toit, un lit, un repas et des soins suffisent à garantir la dignité de nos aînés dans la dépendance révisent leurs convictions : j'ai côtoyé la solitude, la honte et les mots bloqués, de peur des représailles.
Mais j'ai aussi vécu l'endurance et l'espoir. Car, dans ce domaine qui concerne un nombre croissant de personnes, tout reste à faire pour redonner toute sa place à la personne âgée dépendante, dans le respect, la dignité et l'affection partagée.
Vous voulez redonner du sens à ce qui parait ne plus en avoir ? Faire une mise à jour de votre système de pensée ? Apprendre à surfer sur le tsunami du changement ? Bruno Marion nous montre comment et pourquoi le monde est devenu chaotique et turbulent... et que c'est une bonne nouvelle ! Il donne les clés pour se protéger des crises financière, économique, sociale et écologique. Il vous aide à prendre les bonnes décisions en matière de choix de vie, d'éducation de vos enfants, d'investissements ou d'orientation professionnelle.
Pédagogique et pratique, il propose de nouveaux outils très simples et pourtant basés sur l'état le plus avancé de la science : les théories du chaos. Ces outils vous aideront à comprendre et analyser un monde en pleine mutation. Ils vous permettront d'agir efficacement dans votre vie personnelle, dans vos organisations et vos entreprises.
Grâce aux solutions proposées dans ce livre, chacun d'entre nous peut participer à la métamorphose de notre société pour une vie et un monde plus harmonieux !